La photographie ci-dessous est une partie grossie et retouchée de la photographie

originale ci-dessus de
Hyppolite Fizeau datant de ........1840 . !

Le titre de la photographie dans Gallica est:" Plage du Havre, hôtel et bains Frascati ".

Peut-être une briqueterie sur le coteau ? Mais de quel coteau s'agit-il ?
" En 1824, la faiencerie occupait 25 ouvriers et fabriquait de la faiencerie brune et blanche .
M Le Demandé
, juge de paix du canton d'Ingouvllle l'exploita jusqu'à 1834, année de sa mort . La faiencerie lui survécut quelques années puis disparu .

La verrerie juste en face était en
1847 dirigée par Vicart et Cie  ", elle fut transportée en 1861, dans la plaine de l'Eure . " ( Amis du Vieux Havre )

C'est près de la
Verrerie que Ernest Dubosc  installa son usine d'Extraits en 1867 à
Graville St Honorine
.
Sur cette carte de 1843 des archives du Havre, apparait à St Adresse une verrerie  proche du côteau .
Qui dit verrerie dit cheminée ......
Le cercle représente la zone ou se situait la Verrerie pas très loin de l'église St Vincent .
La solution à cette énigme photographique vous la trouverez dans la " La Revue Culturelle du Havre 2017& PLUS " de décembre 2016 que l'on peut trouver à la Galerne " au Havre .
Il y a 40 pages qui lui sont consacrées
; Gregory Saillard a fait une étude approfondie des photographies de Hyppolite Fizeau .Les photographies sont encore plus précises et comme moi vous serez surpris par son étude .

C'est la plus ancienne photographie du Havre connue à ce jour .
Petite parenthèse photographique
Fin de la parenthèse
Revue Culturelle du Havre
carte des archives de 1895
Actuellement la plus ancienne photographie du Havre.
Extrait de la liste des invités et souscripteurs
En 1889, nous retrouvons Fizeau et Letellier sur la liste des souscripteurs en vue de la présentation de la Société Française de Photographie à la prochaine exposition universelle de Paris .
1847
Gravure d' Asselineau mis en ligne par la Bibliothèque Electronique de Lisieux
Léon Auguste Asselineau, né en 1808 à Hambourg et mort en 1889 au Havre  .
Dans le journal de Rouen de décembre 1833 est apparue cette annonçe qui nous apprend l'existence d'un établissement de bains fixes et à domicile dit " Bains Frascati ".